Vous avez sauté trop de cours d’anglais et vous confondez piercing daith et death metal ? Crock’Ink vous offre un petit cours de rattrapage.
Une multitude de petits plis habite l’oreille externe des femmes et des hommes. L’un de ces plis adopte la forme d’une virgule revenant vers l’intérieur, quasiment au milieu du pavillon de l’oreille (attrapez un miroir si vous ne nous croyez pas). Ce relief est la racine de l’hélix et, à l’instar d’autres parties du même organe, il est constitué exclusivement de peau et de cartilage. Raison de plus pour y faire un petit trou et y glisser le bijou de votre choix ! C’est ce piercing qu’on appelle le daith.
Notons d’abord que toutes les oreilles ne se prêtent pas au piercing daith. Comme pour le rook (un autre piercing sur l’oreille), il est impératif de témoigner d’un repli de cartilage suffisamment important. Dévoilez votre organe à votre perceur et il vous dira si l’acte est réalisable !
Le jour du perçage, votre tatoueur commence par nettoyer l’hélix, c’est-à-dire la zone du piercing daith. Une fois votre peau étincelante, il réalise un marquage au niveau du pli de l’oreille pour bien définir la zone précise à percer. Après l’application d’une nouvelle couche d’antiseptique, le prestataire procède à l’acte puis insère immédiatement le bijou. Quant aux sensations, qu’on se rassure : elles sont plus proches du pincement que de la douleur insurmontable…
Enfin, qui dit nouveau piercing dit nouveau bijou ! Choisissez votre anneau selon vos goûts, bien sûr, mais également selon sa qualité. Le titane, par exemple, est l’un des métaux les mieux tolérés par l’organisme. Souvent, l’achat du piercing se réalise sur place : là encore, demandez conseil à votre prestataire !
Des questions ? Envie de passer à l’action ? Crock’Ink vous accueille tous les jours sauf le dimanche de 11h à 19h au 3 avenue de Paris à Bonneuil-sur-Marne (94380) !
Note : les exemples en galerie n’ont pas été réalisés au sein des studios Crock’Ink et ont pour simple vocation à illustrer l’article !