Potius mori quam foedari, dit l’adage – ou "plutôt la mort que le déshonneur", pour celleux qui ne parlent pas latin couramment. Le studio de tatouage Crock’Ink Bonneuil, lui, à l’honneur de vous parler de la mort dans le tatouage !
En tatouage, la mort – soit la cessation complète et définitive de la vie – peut être représentée par des motifs pluriels :
Mais s’il est une figure résolument indétrônable, c’est bien celle de la Faucheuse ; autrement dit, de cette figure de squelette humain habillé d’un suaire et agrippant une faux, instrument tranchant constitué d’une lame d’acier légèrement recourbée et fixée à un long manche.
La première représentation de la mort sous les traits de la Grande Faucheuse (ou Grim Reaper chez les anglophones) remonterait à la seconde moitié du 14e siècle. Cette image puiserait ses origines chez Cronos, le Saturne romain, incarnant le Temps dévorant ses enfants et dont l’attribut, outre la balance, est la faucille. Il est parfois appelé Falciger, "celui qui porte la faucille"…
Dans les épidermes, l’allégorie de la mort se prête à tous les styles. Généralement, on la pique en lévitation, parfois assortie d’un objet autre que la faux (exemple : une cigarette ou un sablier). Même si le noir et le gris dominent, il n’est pas rare de croiser quelques explosions de couleurs – à l’instar des tatoué∙es ayant choisi de parer leur Faucheuse d’une chemise hawaïenne !
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Du lundi au samedi de 11h à 19h au 3 avenue de Paris à Bonneuil-sur-Marne (94380), Crock’Ink vous fait la peau (dans le sens où nous vous tatouons, pas celui où nous vous tuons) :