En aout 2023, le site officiel de l’administration française a mis à jour sa page dédiée aux précautions à prendre avant de se faire tatouer. Elle y parle notamment du para-phénylènediamine ou PPD, qu’on peut croiser dans le tattoo temporaire. Mais de quoi s’agit-il au juste ? Définition signée Crock’Ink.
« Attention, le tatouage n’est pas un acte anodin », rappelle Service-Public.fr en introduction de sa fiche en libre accès dédiée au tattoo. Sous l’égide de l’ARS (Agence régionale de santé), l’organe gouvernemental rappelle la différence entre tatouage permanent et tattoo temporaire :
C’est dans la deuxième catégorie qu’entre en jeu le PPD. « Évitez l’application de tatouages temporaires au henné noir », préconise la page. Le henné désigne une poudre fournie par les feuilles du même nom, séchées et pulvérisées et que l’on utilise pour colorer et fortifier les cheveux mais aussi créer des motifs temporaires sur la peau.
« Pour intensifier la coloration noire du henné », poursuit la fiche, « le para-phénylènediamine (PPD) peut parfois être utilisé ». Et d’avertir : « Il s’agit d’un produit dangereux à l’origine d’allergies pouvant entraîner une intervention médicale, voire une hospitalisation. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) rappelle que cet ingrédient est interdit dans les produits cosmétiques autres que les teintures capillaires. »
Chez Crock’Ink, point de tatouage temporaire mais du tattoo ad vitam æternam, réalisé dans le respect de toutes les conditions d’hygiène imposées par la loi. Notre équipe vous accueille du lundi au samedi de 11h à 19h au 3 avenue de Paris à Bonneuil-sur-Marne (94380) :